jeudi, juillet 20

Climat et productivité

La pièce où se trouve l'ordinateur étant orientée plein sud, je n'ai guère le courage en ce moment de m'y enfermer trop longtemps. Du coup, les mises à jour sont rares et l'intérêt des phrases que mon cerveau anesthésié par la chaleur parvient à produire est discutable. Pour y remédier partiellement et histoire de faire patienter les quelques lecteurs qui n'ont pas fondu devant leur écran, voici le premier jet de la première moitié de ma chronique de Fundamental. Le poster ici m'obligera à le retravailler très vite. Je n'ose imaginer le nombre de fautes de frappe, d'orthographe ou de grammaire qui se terrent dans ce fouillis verbal.

[...]

Voir la version définitive ici.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Argh la suite.
Lire une aussi fine critique APRES avoir écouté l'album, en le connaissant bien est encore plus jouissif.

Merci de la précision de ton écoute, de l'acuité de tes mots.
C'est vraiment bon.

Anonyme a dit…

Bien d'accord avec l'intro, Psychological et Numb. Cela dit, celle-là, plus je l'écoute, plus elle passe bien, avec son lyrisme simplet et un peu maniéré. Tout à fait d'accord aussi sur la puissance imparable de cette merveille ultime qu'est Sodom & Gomorrah show, mais il y a d'autres explications au sens du truc, je pense.

En revanche, ta perplexité sur ...excuses me surprend. Sauf que tu dois à l'honnêteté de dire que tout ça ne te parle guère, mais "I felt I should apologise for what I hadn't heard" est une des plus belles phrases du disque, puissamment évocatrice. Je me réjouis de lire ton décodage de Indefinite leave to remain. Sa signification me laisse perplexe. Y'aurait pas moyen d'être alerté par mail quand tu updates ton blog? ;o)