vendredi, mars 18

Défense et illustration de la pop norvégienne.

Une loi naturelle voudrait que l'on finisse toujours par renier ce qu'on a aimé entre 10 et 12 ans et que ce soit une règle immuable. On tente de nous convaincre qu'en fait, ce renoncement s'appelle grandir, mûrir ou s'assagir. Je m'insurge. Non, ce n'est pas une fatalité. Prenons par exemple A-Ha, un groupe que je n'ai jamais pu renier et à la 'gloire' duquel j'ai consacré mon billet de la semaine sur la Blogothèque.

Sinon, je suis allé hier assister au concert de Dead Can Dance au Palais des Beaux-Arts de Bruxelles, je vous en recause très vite.

PS : Ceci est consternant.

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